• Comment lutter contre la bêtise?

    Comment lutter contre la bêtise?

     

     

     

    "Pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du spectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible. Rien n'est plus difficile que d'obtenir cette disponibilité. C'est là que se trouve le changement perpétuel. Il faut chercher en permanence des programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l'information s'accélère et se banalise". Patrick Le Lay, ancien PDG deTF1, en 2004.

     

     

     

    Cette phrase a annoncé et illustre à la perfection ce que notre déprimant monde occidental est devenu, où désormais la bêtise, cad le retour à l'état de nature et donc quasiment de bête, devient peu à peu la norme. L'intelligence est de plus en plus marginalisée, sauf si elle accompagne par ses raisonnements les processus d'abêtissement en cours et de banalisation de l'ensauvagement qui en découle. Dans le cas contraire, ses déductions seront mises à l'Index, comme par l'Eglise catholique de jadis, et rangées dans les catégories infâmantes de populisme, de complotisme et de conspirationniste.

     

     

     

    Tout processus de civilisation est à l'origine et pendant son développement, une "inclination vers l'élévation" (Bernard Stiegler), un désir de sortie de l'état de nature, où règne la guerre de tous contre tous, pour tenter de parvenir à une existence plaisante et paisible, où l'on peut vivre en bonne intelligence avec autrui. Ce processus de civilisation doit pouvoir se consolider, dans le long terme, grâce à l'accent mis sur l'éducation, qui transmet non seulement un savoir, mais aussi des principes de vie, une éthique, afin de contrer un très naturel "penchant à la bassesse" (Bernard Stiegler), qui reste latent. Autrement dit, le savoir-faire, tout comme le savoir académique (au sens platonicien du terme) doivent se compléter d'un savoir-vivre, sans lequel la vie en société n'est pas possible (sauf pour cette catégorie bien particulière de personnes déjà décivilisées que sont les bisounours, des personnes pratiquant l'aveuglement volontaire pour échapper à toute notion de responsabilité). Autrement dit, à la "tekhné" chère aux Grecs anciens, doit être jointe une "epistémé", une réflexion sur les finalités de la "tekhné". Et dans le domaine des idées, le sophisme, simple bavardage correspondant à l'air du temps, se devait d'évoluer vers la philosophie, l'acceptation d'une pensée saine procurant la joie de vivre par la découverte et la pratique de formes de sagesse.

     

     

     

    Il est assez ahurissant de constater que dans un pays de vieille civilisation, situé au sein d'un continent entré dans l'Histoire et forgé par elle depuis bien longtemps, on en vienne à nouveau à s'interroger sur des processus d'ensauvagement, de décivilisation et d'abêtissement qui seraient en cours. Serait-ce que Schoppenhauer aurait eu raison contre Spinoza et Nietzsche? Toute action entreprise vise à combler un manque, qui lui-même résulte d'un désir inassouvi, le désir étant ce par quoi l'humain s'accomplit. Or, celui-ci ayant vu ses désirs peu ou prou comblés, aurait-il sombré ensuite dans un très schoppenhauerien ennui: l'absence de désir étant ce qui gère automatiquement de l'ennui. Alors que pour Spinoza et Nietzsche, le désir doit et peut se renouveler indéfiniment, son champ d'application étant incommensurablement vaste.

     

     

     

    Que s'est-il passé?

     

    Le désir est l'expression de ce qui est produit par chaque individu à partir de sa subjectivité. Un individu sans désir est un individu aliéné, qui revient à l'état de bête. Celle-ci ignore ce qu'est un désir, n'éprouvant que des pulsions. C'est, toujours selon B. Stiegler, ce qui serait arrivé à l'individu contemporain, passé d'un être désirant (ce qui est conforme à sa nature), à un être pulsionnel (ce qui résulte de l'aliénation subie). S'abêtir, c'est, suite à cette aliénation, aller vers la régression.

     

     

     

    Comment et par quoi ce processus de régression a-t-il été engendré et rendu possible? 

     

    La réponse a été donnée par P. Le Lay, il s'est agi d'obtenir "du temps de cerveau disponible". Exit culture, civilisation, éthique, "inclination vers l'élévation", l'humain est ravalé au rang de l'animal, non de l'animal sauvage, mais de l'animal en élevage de batterie, dont même les pulsions sont amoindries. Chaque humain, comme chaque animal, est une unité de production et de consommation, dont l'existence est mise en musique par des modèles mathématiques.

     

    Michel Foucault avait senti venir l'avènement de la "société disciplinaire", usant notamment de la tyrannie sanitaire pour parvenir à ses fins, bien qu'il n'ait pas connu l'évolution économique qui a permis sa mise en place. En effet, le capitalisme d'investissement, tel qu'il s'est développé en Europe au XIXe siècle a été supplanté par un capitalisme de prédation, reposant sur la financiarisation de l'économie, la disparition du politique et son corollaire, l'abêtissement de ce qui fut des citoyens. De l'exploitation de l'homme par l'homme, dont le politique tempérait les effets, on est passé à l'exploitation de l'homme par des algorithmes. Et on a ainsi dérivé vers un "capitalisme du désastre", selon l'essayiste Naomi Klein, dans son ouvrage : "la stratégie du choc".

     

     

     

    En quoi est-ce une régression et donc un abêtissement?

     

    Il ne s'agit plus de terroriser les gens, comme le faisaient les pouvoirs totalitaires du XXe siècle. Il s'agit de les manipuler de diverses manières, par exemple en rendant incompréhensible et vide de sens le discours émanant de la puissance publique.

     

    Une auteure, Sandra Lucbert, qui s'était notamment penchée sur le cas France Telecom et la "mode" des cas de suicide au sein de cette entreprise, écrit, dans "Personne ne sort les fusils": "les principes dominants sont ceux qui servent une certaine idée de la valorisation du capital. Ils sont mécanisés dans l’ensemble de la société, depuis des pôles d’émission du discours majoritaire, apparemment distincts, réputés indépendants, comme le personnel politique, les journalistes, les experts, mais qui, en réalité, répètent tous les mêmes évidences. Il y a des décisions qui sont prises par les personnels politiques depuis les années 80, qui ont des conséquences telluriques, pour des décennies, sur la vie de sociétés entières, mais qui sont prises dans une telle gangue de technicité, que personne n’en aperçoit la gravité au moment où elles ont lieu : quand je dis personne, je parle des gens concernés, c’est-à-dire, nous la population.

     

    Mon combat personnel, c’est d’essayer de clarifier ce qui se joue dans cette gangue de technicité."

     

     

     

    Gangue de technicité: le nouveau discours déstabilisant est là, les mots sont détournés de leur sens et ne signifient plus rien. Ils ne sont pas énoncés pour faire réfléchir, mais pour déstructurer, troubler, intimider, aliéner et conditionner. Ce qui est en marche, c'est une nouvelle prolétarisation de la société. Dès lors, le capitalisme de prédation, comme il ne peut fonctionner et s'étendre sans abrutissement et sans aliénation, dérive vers un totalitarisme nouvelle manière.

     

    Il vise à concentrer la richesse entre les mains d'une oligarchie de plus en plus réduite (les 12 milliardaires US les plus riches ont une fortune dépassant 1 000 milliards de $) et à prolétariser tout le reste. L'astuce a été de financer ce système dément par la création monétaire, laquelle création est captée pour une part significative par cette oligarchie, à charge pour tous les autres de rembourser la dette ainsi créée, dussent-ils y perdre leurs dents (mais avec le masque, on ne verra plus rien).

     

    On comprend mieux, pourquoi a été créée et à présent entretenue, l'hystérie sanitaire qui sévit en ce moment. A partir de n'importe quel évènement, il s'agit de créer de la peur. S'il y a de moins en moins de malades du covid, on créera une ambiance anxiogène par "le nombre exponentiellement croissant de cas positifs aux tests". Que les détectés soient asymptomatiques ne change rien à l'affaire, les testés sont déclarés potentiellement dangereux. La crise sanitaire et ses développements n'est à vrai dire qu'une resucée de la crise dite des "subprimes" de 2008 et, depuis 20 ans, de la flamboyante mais remarquablement inefficace "lutte contre le terrorisme, les Etats-voyous et les Etats menaçant les valeurs démocratiques". Ce qui justifie que la très efficace OTAN engloutisse pour 2020 un budget de 1 550 milliards d'€ (à comparer avec les 80 milliards de la Russie).

     

    Mort cérébrale ne signifie pas nécessairement mort du financement ! Qui paye? Evidemment pas le capital mondialisé qui s'est créé sur mesure un cadre de dérégulation. Ainsi, depuis le début du siècle, la part du PIB réservée au "coût" du travail a baissé de 10 points au profit du capital. Mais ce n'est qu'un début, il s'agira maintenant d'exproprier progressivement les salariés de leur travail au profit de systèmes entièrement automatisés. Comme par hasard, le covid est apparu au moment où a pu être réalisé un premier galop d'essai de blocage complet de l'économie. De fait, en complément des 2 manipulations mentales précédentes, le prétexte sanitaire a permis d'opérer, au niveau de la société, une application grandeur nature de l'expérience de Milgram. "Celui qui contrôle la peur des gens, contrôle leurs âmes", avait déjà constaté en son temps Machiavel. 

     

     

     

    Le combat à mener contre l'abêtissement est-il d'ores et déjà perdu?

     

    Evidemment non, bien que l'expérience menée actuellement a plongé beaucoup de monde dans un état de stupeur. La stupeur étant ce qui peut mener le plus rapidement à l'abêtissement et à l'abrutissement, selon les voeux de l'oligarchie. Mais l'on est perdant que dans les guerres que l'on ne livre pas. Car nous sommes en guerre, un certain président l'a dit, mais ce n'est pas la sienne qu'il faut mener mais celle des citoyens qui n'ont d'autre choix que de lutter avec détermination contre l'abêtissement en cours et contre le capitalisme de prédation qui en est la cause. Avant que ne s'installe pour de bon un fascisme en blouse blanche ou autre, il faut connaître les armes dont dispose l'adversaire afin de pouvoir l'abattre. Car celles-ci ne resteront pas au stade de la "gangue de technicité" derrière laquelle, pour l'instant, il se cache. Mais dès-à-présent, ne nous laissons pas intimider, il ne s'agit de rien de plus que d'un baratin de montreurs de marionnettes. Platon avait déjà perçu en son lointaine époque, que ceux-ci essaient de nous faire prendre les ombres qu'ils projettent pour la réalité. Dès lors, ce qui importe, c'est de constater les faits, afin de sortir des croyances qui nous sont inoculées comme un virus dans le seul but d'occulter ces faits: "Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances" (Proust).

     

     

     

    Quel est le but d'une propagande? Générer de la croyance, pour évacuer la réflexion faite à partir des faits. La croyance est le fourrier de l'abêtissement. Un psychologue, du nom de Patrick Fagan, a récemment publié (1) dans une revue anglaise un article au sujet de la croyance et la manière dont elle est inculquée. Il cite l'exemple des sociétés communistes: " Dans mon étude des sociétés communistes, je suis arrivé à la conclusion que le but de la propagande communiste n’était pas de persuader ou de convaincre, ni d’informer, mais d’humilier ; et donc, moins elle correspondait à la réalité, mieux c’était. Lorsque les gens sont contraints de se taire lorsqu’on leur raconte les mensonges les plus évidents, ou pire encore lorsqu’ils sont contraints de répéter eux-mêmes ces mensonges, ils perdent une fois pour toutes leur sens de la probité. Consentir à des mensonges évidents, c’est en quelque sorte devenir soi-même mauvais. La volonté de résister à quoi que ce soit est ainsi érodée, et même détruite. Une société de menteurs émasculés est facile à contrôler”. Et de tirer quelques conclusions sur le port abêtissant du masque, qui déshumanise et désocialise.

     

     

     

    Le constat fait par cet auteur au sujet du communisme vaut naturellement dans le contexte actuel. Le système néo-libéral dans lequel on cherche à nous entraîner est, pour l'instant encore, moins brutal que ne le fut le communisme, mais il vise lui aussi, à l'abrutissement des populations.

     

    Quelles sont ses armes?

     

    1 - le droit: on a déjà parlé ici de l'extraterritorialité du droit US, qui vise à démanteler le système juridique des Etats, donc la démocratie, ainsi que le droit international, et ce au profit des multinationales. Un nombre croissant de pays ont de plus en plus de mal à faire respecter leur souveraineté (éviction par la voie judiciaire de Lula au Brésil, Correa en Equateur, Morales en Bolivie, ou d’opposants gênants comme Fillon et Mélenchon en France), neutralisation de l'ONU, sanctions prises unilatéralement par les USA contre la procureure générale de la CPI, la gambienne Fatou Bensouda (curieusement, nos racialistes hexagonaux sont bien silencieux sur ce sujet...).

     

    2 - les medias, insidieux et sournois instruments de propagande où toute pensée déviante est dégradée en populisme et conspirationniste, en attendant de la psychiatriser, comme au bon vieux temps de l'URSS. Il ne s'agit plus d'informer, de confronter les opinions et les analyser, mais de reformater les cerveaux comme s'il s'agissait de machines afin que soit considérée comme allant de soi que les médias ont la légitimité requise pour être de véritables tribunaux médiatiques.

     

    De fait on met en exergue tout ce qui peut créer de simples réactions émotionnelles; ainsi, il y aurait, encore et toujours, une épidémie de covid potentiellement aussi dangereuse que la grippe espagnole de 1918, mais aussi une épidémie de racisme (il est vrai à géométrie variable, uniquement quand c'est celui qui plait au parti démocrate US), d'antisémitisme (ce qui fait toujours réagir au quart de tour), d'homophobie (ce qui donne un brevet de bonne conduite en progressisme) et d'islamophobie (il faut bien cacher la collusion des élites avec les pétromonarchies du MO). Comme l'a déclaré François Bégaudeau sur Radio Sud (février 2019) pour parler de son livre, "Histoire de ta bêtise": "C'est une des scènes préférées du champ médiatique, l’extorsion d’aveux ou l’extorsion de condamnation, c’est-à-dire, en gros, se présenter à la barre et il faut absolument condamner catégoriquement".  

     

    3 - la provocation. Un pays, la Russie, en aide un autre, la Syrie, qui est représentée à l'ONU, dans sa lutte, réelle et non factice, contre les terroristes islamistes. De surcroît, la Russie a signé avec les pays européens la fourniture de gaz par voie de pipe-line (north-stream 2), ce qui a entraîné des sanctions du suzerain US de l'Europe (silence complice de Bruxelles); a informé de sa découverte d'un vaccin contre le covid, on peut penser que c'est bidon, mais il se trouve que 20 pays auraient déjà commandé 20 milliards de doses, ce qui ferait fondre les bénéfices des labos US au cas où cas où ils mettraient au point eux aussi un vaccin; a réussi à imposer une guerre des prix dans le domaine gazier forçant à la fermeture pour cause de non-rentabilité d'innombrables entreprises d'extraction de gaz de schiste US, ce qui devrait réjouir les écologistes, mais curieusement, on ne les entend pas; les USA poussent à l'augmentation des dépenses de l'OTAN (ce qui permettrait de vendre des armes US) et surtout contraindrait la Russie à cesser de prétendument soutenir le biélorusse Loukatchenko, au pouvoir depuis 1996 mais dont il a fallu 1/4 de siècle à nos élites pour le mettre dans la peau d'un autocrate. Pour aggraver son cas, ce dernier n'a pris aucune mesure contre le covid, mais, peut-être grâce à l'intervention de l'Esprit Saint, il n'y a pas eu d'hécatombe en Biélorussie. Là-dessus, on apprend l'empoisonnement d'un opposant politique russe, déclaré "opposant n°1 à Poutine, alors qu'il est arrivé 4e à la dernière élection présidentielle (même si le décompte n'est pas fiable, il donne une indication). Le Kremlin a réagi comme il convenait, en envoyant l'empoisonné en Occident, laissant celui-ci se dépêtrer avec ses manigances.

     

    4- La société du simulacre. La manipulation mentale par le terrorisme dit "islamiste", commençait à s'émousser, il fallait trouver autre chose. D'autant que les guerres menées au MO au nom de cette lutte prétendument anti-terroriste, n'ont pas donné les résultats escomptés. Malgré cela, les représentants politiques de l'oligarchie peuvent se payer des bains de foule comme jadis les dirigeants communistes, mais qui sont entièrement mis en scène. La propagande a réussi a évincer toute véritable opposition politique; tout ce qu'elle a daigné tolérer sont des personnages à la faconde poujadiste, qu'elle nomme elle-même populiste, et dont elle sait que l'opinion se lassera (Salvini, Mélenchon, le Pen) ou qu'elle domptera à temps (Tsipras, Trump).

     

    En réalité, le capitalisme de prédation qui commence à comprendre que son projet de domination universelle risque de ne pas voir le jour, cherche à préparer les populations à un capitalisme de guerre. L'ensemble sino-russe fait peur à l'oligarchie, et celle-ci ne reculera devant rien pour conserver ses privilèges. L'orchestration de la terreur virale n'est qu'un premier stade, les consciences sauront-elles s'éveiller à temps? La démocratie d'apparence (en France depuis 2007) s'accommode d'un simple abêtissement des gens, la dictature qui pourrait suivre ne s'en contentera certainement pas. Le précédent des années 1930 (le nazisme financé par le système bancaire anglo-saxon selon les économiste chinois - ce qui n'est peut-être pas entièrement faux-), ne doit pas être oublié.

     

    5- L'affaissement de l'Education, analysée par Jean-Paul Brighelli, dans "La fabrique du crétin".

     

     

     

    Le Coronazirkus, comme on dit en Allemagne va peut-être faire sortir le plus grand nombre de l'abêtissement et leur permettre de prendre la mesure de "la supercherie sanitaire, de l'escroquerie médicale, de la mystification médiatique, de la tromperie étatique" (2) et en tirer les conséquences. Albert Camus s'interrogeait sur les raisons qui avaient conduit un grand nombre de penseurs de son époque à s'incliner devant le totalitarisme: "Tandis que les Grecs donnaient à la volonté les bornes de la raison, nous avons mis l'élan de la volonté au coeur de la raison qui en est devenue meurtrière. Les valeurs pour les Grecs étaient préexistantes à toute action dont elles marquaient précisément les limites. La philosophie moderne place ses valeurs à la fin de l'action. Elles ne sont pas, mais elles deviennent, et nous ne les connaîtrons dans leur entier qu'à l'achèvement de l'histoire. Avec elles, la limite disparaît...

     

    " Le constat est plus que jamais d'actualité.

     

     

     

    Jean Luc

     

     


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